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  • : travesti soumise maso et exhibitionniste qui recherche un cpl groupe h ou f imaginatif severe pour les servir sur belgique nord de la France paris suis totalement épilée toujours en tenue sexy j'adore obeir etre dilate jusqu'au fist j'accepte vraiment tout (lavement fist fessee uro etc...) si sex sans risque je suis bien sur non venale et recherche idem ne peux recevoir suis tres disponible mon mail: justinesoumise1@hotmail.com
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  • : 17/12/2008

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  • justinesoumise1
  • Le blog de justinesoumise1
  • Femme
  • 20/11/1964
  • soumise gourmande fetichiste maso docile
  • jeune travesti pr cpl f h et groupe justine 35 ans mince 1m73 totalement épilée cheveux courts, sexe (18 cm) et anus rasés, jambes (très jolies) épilées et jolies fesses bien rondes et cambrées.... J'aime être soumise je recherche cpl h f t

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Mercredi 4 février 3 04 /02 /Fév 15:56

20 h, tu regardes machinalement ta montre, il n'est pas en retard.

Tu ouvres le tiroir de la commode et en sors un foulard. Tu te diriges d'un pas lent vers la porte, l'ouvres sans enlever la sécurité et tu lui tends le foulard.


- Mets-ça sur tes yeux.


L'ordre est impérieux mais il sait à quoi s'en tenir, cela fait partie des règles du jeu et il doit les accepter.

Tu ouvres enfin, tu le détailles longuement de la tête aux pieds et tu t'assures qu'il ne voit rien. Tu le prends par la main et le fais entrer.


- Déshabille-toi, entièrement !


Le ton est toujours aussi impératif. Il s'exécute doucement mais sûrement.

Tu mets tes gants, pas question qu'il soit en contact avec ta peau, et tu commences ta minutieuse inspection. Détaillant au passage chaque partie de son corps avec minutie, tu descends doucement vers ses pectoraux, son ventre. Son sexe est déjà tendu de désir, tu le serres violemment à la base tout en pressant de l'autre main ses testicules, à la limite de la douleur...


- Je ne t'ai pas autorisé à bander, tu banderas quand je te le dirai....Si je te surprends de nouveau en érection, je saurai te la faire passer, crois-moi !


Tu retires tes mains et lui intimes l'ordre de se retourner.


- Mets-toi à quatre pattes comme un chien !


L'ordre fuse.

Il se met à terre. Tu te penches un peu, écartes ses fesses et inspectes avec minutie sa raie culière, et tu introduis un doigt fureteur dans son antre...


- Très bien, tu es propre et étroit, quoique plus pour longtemps... Voilà, je t'explique en quoi consistera la soirée : nous allons manger ensemble, enfin quand je dis manger, surtout moi, bien sûr, toi tu seras sous la table, à quatre pattes comme un bon toutou, mais, rassure-toi, tu ne resteras pas inactif. Viens !


Et tu le tires par la laisse que tu viens de lui mettre autour du cou.

Tu t'installes, la table est mise. Le champagne est au frais dans son seau, tu t'en sers un verre en guise d'apéritif.


- À la tienne !


Sous la table, toujours accroupi, ton soumis attend tes ordres.

Tu écartes largement les jambes.


- Approche et lèche ! J'espère que tu vas apprécier, je ne l'ai pas lavée spécialement pour toi, tu vas pouvoir la nettoyer de ta langue.


Il s'approche et pose sa langue sur le tissu déjà humide de tes premières sécrétions.


- Bien, et surtout ne t'arrête pas.


Tu commences à manger distraitement, ton bas-ventre s'enflamme déjà, et tu sens les premiers soubresauts à l'intérieur de tes entrailles, vite un deuxième verre de champagne avant d'attaquer la première entrée. Quel plaisir de manger tout en étant servi de si belle manière, tu sens sa langue partout sur le haut de tes cuisses, mais aussi à la recherche de ton petit bouton tendu de désir.

Tu n'y tiens plus, avant de te laisser aller, tu te lèves et te diriges vers la cuisine pour chercher le plat de résistance. Malgré toi une main se porte sur ton entrecuisse détrempé, tu décides soudain de retirer ton string, et retournes te mettre à table, le plat dans une main, le string dans l'autre.

Ton regard s'est porté sous la table.


- Je t'avais prévenu, et tu bandes encore ! Cette fois c'est trop ! Puisque tu tiens à bander, je vais t'en donner l'occasion.


- Tu te diriges vers le tiroir où tu avais pris le foulard et en sors un lacet épais.

Avec une grande dextérité tu te saisis de ses couilles et fais un premier nœud bien serré à leur base, de la longueur restante un deuxième nœud bien serré à la base de son pénis.


- Comme ça, tu sauras pourquoi tu bandes !


Tu reprends place sur ta chaise face au plat de résistance. Tu écartes de nouveau tes cuisses et avances tes fesses sur la chaise.


- Lèche, et surtout n'oublie pas ma petite rondelle plissée !


Ton soumis se remet à l'œuvre, faisant aller sa langue de ton anus palpitant à ton petit bouton. Un long frisson anime soudain ton corps, l'orgasme est proche, tu le sais, mais tu te laisses aller, pensant que ce sera le premier d'un longue série, mais celui-ci te ravage littéralement et te fait perdre le contrôle de tous tes sens, t'emportant soudain vers le septième ciel. Sans que tu t'en aperçoives ton sexe laisse échapper quelques gouttes d'urine chaude. Surpris, ton soumis a un mouvement de recul. Tu te saisis de sa tête par les cheveux.


- Non ! Si tu es mon serviteur, mon esclave, tu dois tout accepter de moi...


Et tu plaques son visage contre ton entrecuisse d'ou émanent maintenant les odeurs de ton plaisir, dont les effluves remontent jusqu'à toi. Vite un verre de champagne, pour essayer de ne pas chavirer trop vite !

Sous la table l'esclave docile a repris son léchage un moment interrompu, l'étreinte de tes mains dans ses cheveux se relâche.

Avec délectation, tu passes enfin au dessert, l'emprise du plaisir se fait maintenant moins forte et tu retrouves doucement tous tes moyens....

Tu termines calmement et tu te lèves.


- Ne bouge pas !


De nouveau tu prends le chemin du tiroir et en extrais 4 pinces à linge. Tu retournes vers ton soumis que tu fais allonger sur le dos. Tu places deux pinces sur ses tétons érigés, en les pinçant plus que de raison, juste vengeance d'une femme dont les seins ont été trop malmenés, penses-tu. Ton soumis grimace.


- Ce n'est que le début !


Tu te diriges maintenant vers son organe tendu et tuméfié, presque violacé par l'érection forcée. Tu te saisis de ses couilles et fixes à chacune les deux pinces restantes.


- Remets-toi à quatre pattes...


Il s'exécute. Le balancement des pinces provoque de douces brûlures…Et c'est ainsi harnaché qu'il est tiré par sa laisse jusqu'à ta chambre. Là le lit, déjà équipé de cordes, est prêt à l'accueillir. Tu le fais s'allonger sur le dos, toujours tenu en laisse. Il t'obéit très docilement. Tu lui attaches les deux poignets au montant du lit, et tu lies les chevilles aux pieds de ce dernier. Tu regardes un instant son sexe érigé et dur comme un roc, tu sais déjà que tu vas prendre du plaisir, et ce aussi longtemps que tu le voudras. Soudain une idée te vient à l'esprit, tu glisses deux coussins sous ses reins, maintenant les jambes bien écartelées par les cordes, tu vois son entre-fesses et sa petite rosette offerte à tes désirs, tu te saisis d'un de tes plus gros godes et le frottes longuement contre ta chatte dégoulinant de ton plaisir.


- Suce, suce comme une petite salope et mouille-le bien, car je te laisse deviner où je vais te le mettre ! voilà, c'est bien, il a bon goût, hein ? tu aimes, j'espère ? dis-tu en le lui enfonçant profondément dans la gorge.


Peut-être là aussi te venges-tu de tous ces hommes qui t'ont planté leur phallus turgescent jusqu'à la glotte ?

Puis, doucement, tu le sors de sa bouche, un filet de salive s'en détache, et tu le fais glisser le long de son corps, jusqu'à son pubis, tu contournes son organe, survoles doucement ses boules toujours enserrées par le lacet noué, et tu accèdes dans la vallée de ses fesses. Ses muscles fessiers se tendent, t'empêchant d'aller plus loin, mais, pour lui rappeler qui est la maîtresse, tu t'empresses de faire tourner dans tes doigts une des pinces encore fixées sur ses tétons, élançant soudainement sa poitrine. Ses fesses se relâchent, et tu pousses doucement la pointe de ton gode contre son anus. Tu l'introduis légèrement, tu sens son muscle anal se détendre et accueillir l'objet phallique millimètre par millimètre. Il est maintenant rentré d'un bon tiers de ses 20 cm, l'antre de ton soumis se fait de plus en plus accueillant, il soupire... mais tu n'as pas envie de le ménager, et soudain tu accélères ton mouvement, plantant le gode de plus en plus profondément dans son cul, tu es prise d'une vrai démence…


- Tu aimes ça, petite salope, hein ? Alors ça te fait quoi de te faire défoncer comme une petite femelle en chaleur ? Tu es ma petite pute et je vais te baiser jusqu'a la moelle…


- Tu t'étonnes toi-même de ta vulgarité... puis soudain tu le lui enfonces le plus profondément possible et tu ne le touches plus, tu regardes son visage crispé, mais avec l'air heureux, un faciès qui mélange douleur et plaisir intense. Tu le laisses planté là au fond de lui, et tu l'enclenches, tu sens les vibrations de l'appareil se répandre dans tout son corps, tu poses ta main sur son sexe tendu sous l'effet du lacet qui enserre sa base, il vibre lui aussi au rythme du gode.

Tu n'y tiens plus, tu l'enjambes et viens t'accroupir au-dessus de sa verge. Tu te caresses lentement le clitoris avec son extrémité tendue, tu sais que tu as tout le temps, tant que le lacet restera noué il ne pourra ni débander ni éjaculer...

Soudain tu mets son gland contre tes lèvres charnues, et tu te laisses tomber sur lui, tu le sens t'envahir par son membre distendu. Tu montes et tu descends sur lui au rythme de ton plaisir, tantôt calme, tantôt frénétique. Tu sens doucement l'orgasme monter en toi, tu augmentes ta vitesse, tu entends claquer tes fesses contre son pubis, tu sens toujours les vibrations du gode planté dans son anus se transmettre à ton bassin et t'amener au sommet du plaisir, tu te concentres sur cette sensation en oubliant même celui qui est sous toi. Ton orgasme est dévastateur, il ravage ton ventre tel un raz de marée, effaçant toute la retenue qui te caractérise, et tu finis en un cri de plaisir extrême.

Tu t'effondres sur lui... mais son répit n'est que de bien courte durée, car tu veux combler un autre vide en toi... mais avant cela il faut t'y préparer… Tu t'avances sur lui, jusqu'à sa bouche, tu écartes démesurément tes fesses, et t'accroupis sur son visage.


- Lèche-moi la rondelle, et enfonce bien ta langue !


Il fait de son mieux, tu sens son souffle chaud sur tes fesses et sa langue qui fouille ta raie, s'attardant sur ta petite rosette, s'y enfonçant même parfois ... hum que c'est bon, tu es aux anges mais tu n'en veux plus !

Soudain tu te retires, brutalement tu t'empares de sa verge, vibrant sous l'effet du gode, et tu te baisses. Tu hésites un instant en sentant son gland se poser sur ta rondelle, mais tu en as trop envie, alors tu te laisses doucement descendre sur lui, tu sens tes chairs se distendre et son sexe finit par te pénétrer. Tu t'arrêtes un moment pour que ton corps s'adapte, mais cela ne dure guère longtemps, et tu entames doucement un va-t-vient de plus en plus rapide, tu sens le plaisir lentement remplacer la douleur, tu sais que tu vas rapidement atteindre le sommet de la vague, mais juste avant cela une idée transperce ton esprit pervers. Tu te retires rapidement de lui dans un bruit de succion, et viens empaler ta chatte maintenant bien mouillée et ouverte sur son sexe ; d'une main tu défais rapidement les nœuds qui enserrent son membre, tu as envie de le sentir se déverser en toi, mais ce n'est pas là ton unique but. Tu jouis une fois de plus, ton vagin se contracte sur son membre et aspire soudainement sa liqueur, tu sens qu'il se déverse par flots au creux de tes entrailles, c'est exactement ce que tu voulais ...Tu l'enfonces le plus profondément en toi pour n'en perdre aucune goutte, puis avec précaution tu te retires tout en serrant tes muscles vaginaux, tu t'avances jusqu'à son visage.


- Ouvre la bouche !


Tu colles ta chatte gluante à ses lèvres et te déverses longuement en lui, qui te bois maintenant avec délectation, sachant qu'il doit dorénavant totale obéissance à sa maîtresse .....


Par justinesoumise1 - Publié dans : soumise - Communauté : Soumission et appartenance
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